Tous les êtres aussi infinis que soit l’espace et qui n’ont pas réalisé leur véritable nature, qui est conscience-existence-béatitude au-delà des trois cercles, demeurent dans la division entre moi et autre et dans un état de souffrance fondamentale.
Prendre conscience de notre souffrance et ne pas la repousser, faire un avec, est le but et le moyen pour développer une compassion authentique et équanime pour tous les êtres.
Pour un Boddhisattva, celle-ci est omniprésente et n’attend pas la vue de la souffrance pour s’exprimer.